Ce confinement vague 2 n’est pas vraiment une surprise.
Si vous le souhaitez, nous allons reprendre nos lettres « confinés oui, isolés non ». Elles seront diffusées à l’ensemble des adhérents de votre association (environ 170), et publiées sur notre site, à un rythme variable en fonction de vos envois d’informations, souvenirs, etc…
A vos stylos, ordis, j’attends vos contributions.
Nos permanences et balades
En premier lieu, les permanences mensuelles de Belfort, Besançon et Dole sont supprimées jusqu’à nouvel ordre. Mais nous pourrons nous retrouver en réunion virtuelle le 2ème mercredi du mois.
Rendez-vous donc dès le mercredi 11 novembre à 18 h 30. Tous les détails seront à trouver ici : Permanences par visio-conférence
Nos balades mensuelles sont aussi suspendues.
Il faut de nouveau nous adapter aux règles d’un périmètre de sortie restreint. Voici des liens pour connaître notre rayon de « permission » journalière : carte-sortie-confinement.fr ou covidradius.info
Témoignage
L’article sur le moyen d’aller ou revenir de Vézelay, dans notre dernière lettre « chemins partagés », le 22 octobre dernier, a rappelé à Guy Diemunsch un souvenir encore tout frais :
Pour revenir sur un retour de Vézelay (c’était le vendredi 25 septembre de cette année) :
1°) Prendre le car le matin vers 9h25, place du champ de foire ; destination Sermizelles.
2°) N’attendre que 10 minutes pour embarquer dans le TER venant d’Avallon.
3°) Sauter du train à Laroche-Migennes et sans attendre ni passer par le hall de gare pour s’affranchir d’un nouveau billet, courir jusqu’à l’auto-gare voisin et monter dans le bus sans billet (mais avec l’assentiment du conducteur, qui ne prend pas d’argent). Il est 9h57 au départ du bus, soit 5 minutes après l’arrivée du train (à l’heure).
4°) Voyager par les plus petites routes de Bourgogne pendant plus de 4h30 pour arriver enfin devant la gare de Dijon.
5°) Attendre une demi-heure, ce qui laisse le temps de se mettre en règle avec la SNCF (et de pouvoir enfin s’envoyer un sandwich).
6°) Quitter Dijon à 15h09 et après un ultime changement à Besançon, descendre en gare de Montbéliard à 17h17 au terme d’un déplacement (normal, sans encombres) qui globalement aura duré près de 8h ; et plus si je compte la descente depuis le Centre Ste Marie-Madeleine et l’attente du car en plein vent frais et sous la pluie.
Mais, je veux rester positif et si réellement “les voyages forment la jeunesse”, je peux m’estimer heureux d’avoir rajeuni de quelques années.
écrit Guy qui complète :
Rien à craindre pour cette nouvelle période (indéterminée?) de claustration, je continuerai à imaginer et baliser des randos de confinement (1h… avec une petite tolérance en plus ; rayon d’1km… en tirant un peu sur l’élastique) autour du village d’Aibre. De plus, j’ai des tas d’anecdotes à revivre et mettre en forme concernant ma dernière “expédition”….
Faites bien attention à vous et aux autres,
A bientôt,
Amitiés jacquaires,
Nicole
Communication af-ccc